Dans certaines villes, le smog fait partie du bulletin météo et se glisse régulièrement dans les conversations quotidiennes. À Los Angeles, la ville qui a fait connaître le smog photochimique, les prévisions comprennent un rapport de smog, cité au même titre que d’autres conditions météorologiques.

Les jours de smog particulièrement épais dans les vallées, à l’intérieur des terres, on sent clairement l’ozone associé à certains types de smog, surtout le matin, dans une zone où l’air devrait plutôt sentir l’eucalyptus ou les fleurs du désert.

Toute forme de pollution atmosphérique qui crée de la brume et réduit la visibilité peut être appelée « smog ». Alors que les automobiles sont accusées de produire du smog, le terme remonte en fait au début des années 1900, où il décrivait tout mélange de fumée et de brouillard. À cette époque, la fumée provenait généralement de la combustion du charbon. Elle était donc particulièrement fréquente dans les zones industrielles.

De nos jours, le terme smog désigne, la plupart du temps, le smog photochimique, créé par une réaction chimique entre la lumière du soleil, les oxydes d’azote et au moins un composé organique volatil (COV) en suspension dans l’atmosphère. Les oxydes d’azote trouvent leur source dans les gaz d’échappement des voitures, les centrales au charbon et les émissions produites par les usines. Les COV sont libérés par l’essence, les peintures et de nombreux solvants de nettoyage. Lorsque ces produits chimiques sont exposés à la lumière du soleil, ce dont L.A. ne manque pas, ils génèrent des particules aéroportées et de l’ozone troposphérique, qui donnent naissance au smog.

Tout là-haut dans l’atmosphère, la couche d’ozone sert à nous protéger du rayonnement ultraviolet nocif du soleil. Cependant, à proximité du sol, l’ozone peut provoquer des lésions pulmonaires. Il est particulièrement nocif pour les enfants, dont les poumons sont encore en développement, et pour les personnes atteintes de maladies respiratoires telles que l’asthme. L’ozone peut aussi causer des irritations oculaires. Son odeur est proche de celle de l’eau de javel.

Le smog comprend souvent de fines particules contenues dans les émissions de moteurs diesel. Ces particules PM2,5, qui peuvent se trouver dans l’air les jours de smog, sont suffisamment petites pour pénétrer dans le sang à travers les poumons et causer de graves problèmes de santé. En Chine, un décès prématuré sur cinq, pour une moyenne de 250 000 décès prématurés par an, serait attribuable à la pollution.

Dans des villes, telles que Los Angeles, au creux de bassins entourés de montagnes, le smog est particulièrement inquiétant. Piégé dans la vallée, à l’abri du vent, rien ne peut le dissiper. Une couche d’inversion se forme. L’air chaud se retrouve au-dessus de l’air froid et agit comme un couvercle à mesure que la pollution s’accumule.

Le smog est à son apogée en été et en automne à L.A. En effet, les couches d’inversion sont plus fréquentes à ce moment. En Chine, l’hiver est la saison la moins favorable. Les villes du nord sont plus touchées par le smog que celles du sud, en raison des quantités de charbon utilisées par l’industrie et le chauffage domestique. La consommation énergétique monte en flèche pendant les mois les plus froids, tandis que le ciel, naturellement couvert à cette époque de l’année, bloque la pollution sous les nuages.

Comment protéger vos proches, vos animaux, vos plantes et vous-même contre les effets du smog ? Si, comme la plupart des gens, vous ne pouvez pas déménager dans une ville où l’air est plus pur ou vous échapper dans une résidence secondaire pendant la saison du smog, vous pouvez réduire l’exposition quotidienne de votre foyer au smog à l’aide d’un purificateur d’air efficace contre la brume et le smog.

Purifier l’air de votre chambre à coucher peut avoir un impact particulièrement positif sur votre santé. En effet, outre le fait que vous passez un tiers de votre temps dans cette pièce, vos poumons sont plus vulnérables la nuit, lorsque vous dormez. Même les personnes qui ne sont pas touchées par la pollution due au smog affirment qu’un air pur et frais les aide à dormir plus profondément, et à se réveiller mieux reposées.

Les meilleurs purificateurs d’air pour smog sont ceux qui éliminent les particules et les gaz. Les purificateurs d’air Blueair équipés de la technologie HEPASilent™ offrent des performances et une efficacité particulièrement élevées contre le smog en associant des technologies de filtration électrostatique et mécanique. Cette technologie innovante, inventée par Blueair, affiche un taux d’efficacité de 99,7 % pour la filtration de particules en suspension dans l’air, d’une taille supérieure ou égale à 0,1 micromètre*. Outre un débit d’air propre (Clean Air Delivery Rate - CADR) élevé, elle offre à ses utilisateurs un fonctionnement très silencieux et une haute efficacité énergétique. D'ailleurs, les purificateurs d’air Blueair sont tellement silencieux que vous pourrez dormir dans la même pièce. Vous vérifierez peut-être même à deux fois qu’ils fonctionnent bien. Autre avantage, lorsqu'ils sont réglés au minimum, les purificateurs d’air Blueair consomment moins d’électricité qu’une ampoule.

La technologie HEPASilent peut être associée à des filtres au charbon actif pour éliminer efficacement les gaz d’échappement des véhicules, le smog et les produits chimiques aéroportés, mais aussi les COV et les PM2,5.

Le filtre SmokeStop™ contient environ 1 à 2 kg de charbon actif, formulé à base de dioxyde de magnésium et d’oxyde de cuivre, ce qui le rend idéal pour capturer le smog, les produits chimiques dangereux et les odeurs. Le volume et le poids élevés du charbon, ainsi que la faible densité et la grande surface du filtre mécanique, garantissent une longue durée de vie des filtres sans encrassement. Pour une élimination optimale du smog et des gaz, vous pouvez également utiliser un filtre Blueair DualProtection™ au charbon de noix de coco en poudre à haute porosité.

En plus de purifier votre air, vous pouvez également contribuer à la réduction du smog en modifiant vos habitudes. Le National Geographic a publié, à cette fin, une liste de conseils utiles.

• Sortez moins en voiture. Dans la mesure du possible, déplacez-vous à pied ou à vélo, faites du covoiturage et utilisez les transports en commun.
• Prenez soin de votre véhicule. Pour réduire votre consommation de carburant et vos émissions, procédez régulièrement à l’entretien de votre véhicule, n’oubliez pas de faire la vidange d’huile, en temps et en heure, ni de gonfler correctement vos pneus.
• Faites le plein aux heures les moins chaudes de la journée (la nuit ou tôt le matin). Cela empêche les émanations de carburant de chauffer et de produire de l’ozone.
• Évitez les produits qui libèrent des taux élevés de COV. Utilisez, par exemple, des peintures à faible teneur en COV.
• Évitez d’utiliser des outils de jardin à essence, telles que des tondeuses à gazon. Préférez l’utilisation d’appareils électriques.

*Testé sur des particules de jusqu’à 0,1 micromètre conformément à la norme EN 1822.